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Bonjour à tous. Votre blog sort de son hibernation 

1. Un vieux voyage avec sa fille et son neveu dans la même voiture. Tout à coup, il entend par derrière cette conversation entre les enfants : la fille qui dit au neveu : « J’ai déjà ouvert». Le neveu répond : « Je peux mettre? ». La fille dit : « oui, verse dedans ». Un instant après elle reprend : « Mais regarde comment tu as versé sur mes cuisses…». Le père dit au chauffeur : « chauffeur, arrête ! je les ai attrapés aujourd'hui, ces andouilles ! ». Et il retourne la tête et voit une miche de pain dans les mains de sa fille et une boite de sardine tenue par son neveu. Furieux il crie : «megd, combien de fois dois-je vous dire d'appeler les choses par leurs noms??? »

2. Un homme ivre accompagne son épouse en maternité pour accouchement. A 22h, celle-ci accouche d’une fille. Le père regarde sa montre et soudain se saisit du bébé et commence à le battre violemment. On lui demande la raison. Sa réponse : « toi tu es encore bébé et tu viens à 22h. Si je ne te dis rien tout de suite là, tu vas rentrer à quelle heure quand tu auras 14ans ? la salope ! ».

3. Pendant une leçon de morale, la maîtresse demande : « Comment pouvons-nous garder notre école propre ? ». Toto répond : « en restant à la maison madame »

Pourquoi quitter le Franc CFA part 1 L’auteur du livre à succès LE FRANC CFA ET L’EURO CONTRE L’AFRIQUE a donné, au Cameroun, une série de conférences sur les méfaits du franc des Colonies françaises d’Afrique (CFA). Le Pr. Agbohou Le professeur Nicolas Agbohou y affirme sans ambages que le franc CFA plombe irrémédiablement l’économie des 15 pays africains qui utilisent cette monnaie de singe. Il explique le mécanisme du compte d’opérations et propose les solutions réalistes pour parvenir à la souveraineté monétaire de l’Afrique. Il dira ce qui suit : DE L’ORIGINE NAZI DU FCFA « Plusieurs raisons : D’abord, je suis un Africain et en tant que tel je me sens interpellé par les problèmes de l’Afrique. Ensuite, je vois objectivement le danger qui arrive. Dans 36 ans, en 2050, l’Afrique aura 2 milliards d’habitants à nourrir. Il faut préparer la vie de ces 2 milliards de personnes. En d’autres termes, il faut changer de politique économique. Or nous ne pouvons pas faire une politique économique sans la maîtrise de la monnaie. Donc, conscient de ce problème, je me suis appesanti sur le Franc CFA et après étude je me suis rendu compte que « franc CFA » voulait tout simplement dire « franc des Colonies françaises d’Afrique (CFA) ». Pour continuer à piller l’Afrique après les indépendances formelles de 1960, le colon français a redéfini le franc CFA comme : le « franc de la Communauté Française d’Afrique). Mais c’est un simple maquillage ! Pourquoi estimez-vous dans votre livre que Le Franc CFA et l’Euro [sont] contre l’Afrique ? Tout simplement parce que le franc CFA est d’origine nazie. Il s’agit d’un mécanisme mis sur pied pour permettre à la France de tirer profit non seulement des richesses naturelles, mais aussi du travail des Africains. Le franc CFA a été créé le 25 décembre 1945, conformément à l’article 3 du décret 45/0136 par le général De Gaulle. Et le franc CFA qui veut dire le franc des Colonies françaises d’Afrique est une monnaie purement coloniale inventée par et pour les intérêts des colons pour dévaster l’Afrique. La survivance du franc CFA n’est que la perpétuation de cet appauvrissement. Il y a 30 ans, l’économiste camerounais Joseph Tchuidjang Pouemi dans son livre intitulé Monnaie, servitude et liberté, affirmait déjà que le franc CFA n’est qu’un instrument de « répression monétaire de l’Afrique ». A votre avis cette répression monétaire a-t-elle toujours cours ? Elle a toujours cours ; car lorsqu’on regarde les institutions de la zone franc CFA, notamment le conseil d’administration des trois banques centrales, on voit que les Français y sont présents et disposent du droit de véto. Autrement dit ce n’est pas son utilisation qui fait problème, mais le franc CFA lui-même. Son fonctionnement appartient à la France qui l’utilise pour ses propres intérêts et donc contre les intérêts des Africains. Aussi bien à la Banque des Etats d’Afrique centrale (BEAC) qu’à la Banque des Etats d’Afrique de l’Ouest (BCEAO) qu’à la Banque centrale des Comores (BCC), la France nomme des représentants qui disposent d’un droit de véto. Autrement dit, si les Africains présents aux conseils d’administration de ces différentes banques décident de prendre des décisions qui défendent les intérêts de l’Afrique en touchant aux intérêts de la France, ces décisions ne pourront pas être validées puisque les Français voteront « contre ». Ce d’autant plus qu’il est clairement mentionné dans les textes régissant ces trois banques centrales que « les décisions se prennent à l’unanimité ».

Monsieur le Gouverneur,

Le citoyen lambda que nous sommes avons entendu sur les ondes, votre communiqué dans lequel votre institution, par le biais de votre personne, enjoignait les groupes d’autodéfense « Kolgl-weogo » de, je cite « libérer» la région de l’Est. Vous êtes le premier magistrat de cette région et à ce titre,  nous vous en reconnaissons ce droit. Aussi nous supposons que cette décision est prise pour faire prévaloir le respect strict des lois de la République. Ne nous a-t-il pas été dit que « nul n’est censé ignorer la loi » ? Et cela devait être valable pour tous, même les Kogl-weogo. Tout ceci était donc de votre devoir.

 Néanmoins, en tant que citoyen de cette région, après analyse, nous émettons quelques inquiétudes sur le cours des jours à venir si la teneur de ce communiqué était effectivement appliquée. Loin de nous l’idée de nous porter en défenseurs de ces groupes d’autodéfenses dont certains, par leurs actes, ne peuvent pas être qualifiés d’enfants de cœur, mais nous nous permettons un regard critique sur la situation sécuritaire dans notre région.

Force est de constater, Monsieur le Gouverneur, que dire que la région de l’Est est celle du grand banditisme par excellence, et ceci depuis plus d’une décennie n’est un secret pour personne. Et si aujourd’hui l’action ces « Kogl-weogo » est unanimement saluée par les populations (et nous insistons), c’est parti d’un simple constat : l’échec cuisant de l’Etat à assurer intégralement la sécurité les honnêtes citoyens.

Cela se matérialise par :

1.      Le faible taux de couverture de la région en terme de brigades de gendarmerie. Ajouté à cela le manque de personnel et de matériel (armes de taille, véhicules, motos tout terrains…)

2.      Les lenteurs judiciaires conjuguées à la clémence de la loi vis-à-vis de certains délits.

Certaines personnes font du raccourci en jetant l’anathème sur les forces de sécurité (gendarmes et policiers). Nous, nous disons, GENDARMES ET POLICIERS DE LA REGION DE L’EST, FELICITATIONS A VOUS  !!!! La belle femme ne peut donner que ce qu’elle possède. Malgré la vétusté des moyens mis à leur disposition, ces hommes et femmes qui veillent pour que nous puissions dormir atteignent des résultats inespérés.

C’est donc fort de ce constat qu’est né le mouvement « Kogl-weogo »   afin de renforcer le dispositif sécuritaire. Ces groupes dont nés spontanément ont certes, en toute illégalité commencé leur travail dont les résultats sont incontestablement excellents, bien que certaines règles élémentaires sont foulées aux pieds par ceux-ci. Et de là est survenu le second échec de l’Etat, échec quant à cadrer rapidement leurs actions en les formant sur les rudiments du droit. Et même nous pourrions solliciter à l’Etat dont vous êtes le représentant, de considérer la région de l’Est comme une région d’exception dans le domaine de l’insécurité et permettre des mesures aussi exceptionnelles avoisinant l’état d’urgence. Cette pratique a jadis fait ses preuves dans la Gnagna dans les années 90. Beaucoup se souviennent de « l’opération DIENDERE ».  Nous pourrions disserter encore longtemps sur le sujet mais nous pensons, Monsieur le Gouverneur, pour une bonne cohésion sociale, et une bonne compréhension entre les autorités et leurs populations, de considérer ce qui suit :

1.      Privilégier le dialogue aux actions « coup de poing » en revenant sur votre communiqué dont le contenu rencontre très peu d’adhérents au sein des populations dont vous avez la charge.

2.      Ne pas perdre de vue que vous avez en face de vous des groupes en majorité analphabètes qui ne comprennent pas facilement et avec discernement les contours de la loi.

3.      Que les démarches administratives soient facilitées pour permettre l’officialisation de ces groupes d’autodéfense.

4.      Travailler avec les forces légales (gendarmeries et parquet) et ces groupes d’autodéfense afin qu’au lieu de se regarder en concurrents, se considèrent plutôt comme collaborateurs.

Pour ce faire, Monsieur le Gouverneur, il faudrait pour l’autorité que vous êtes, de plutôt engager tous vos collaborateurs, et sans délais, un long processus d’information-éducation-communication au profit des Kogl-weogo et non un bras de fer. Un proverbe africain ne dit-il pas que « répondre par des coups de pieds aux coups de sabots de l’âne n’est que multiplier l’espèce » ?  Aussi, il serait bon de ne pas jeter l’opprobre sur tous les groupes d’autodéfense après ces actes condamnables posés par ces quelques individus isolés.

Monsieur le Gouverneur, les groupes d’autodéfenses « Kogl-weogo » ne sont pas une force d’invasion mais une force plutôt qu’il faudra à l’Etat de saisir car la Nation, à l’heure de cette insécurité grandissante, a besoin de toute initiative allant dans le sens de la sécurisation du pays. Notre pays se devait de s’inspirer de l’exemple camerounais où des groupes d’autodéfense se sont aussi spontanément formés pour lutter contre les kamikazes de la nébuleuse BOKO HARAM qui, aujourd’hui sont le bras droit de la Brigade d’Intervention Rapide (BIR). En somme, Monsieur le Gouverneur, Simon Compaoré lui, en a compris l’enjeu. Et c’est plutôt sur ce sentier que les populations de région de l’Est vous attend, et non dans des décisions qui les obligeraient battre le pavé pour rappeler leurs autorités à plus de sagesse.

Nous insistons pour finir, que le Burkina n’a pas besoins de forces inutilement antagonistes mais des forces travaillant en synergie pour une cause commune….

 

 

 

Dans son fameux discours à Dakar (cherchez-le ou réecoutez-le, c'est vraiment...édifiant), Mr Sarkozy, ex et futur Président de la France donne des leçons à l'Afrique tout entière. Et pour mieux faire passer son message à cette "abrutie" d'Afrique, il lui fallait des termes frolant l'injure des consciences. De ce discours, nous avons décidé d'en retenir quelques passages pour en faire notre propre critique. Ainsi nous retenons ceux-ci:

« La part d’Europe qui est en vous est le fruit d’un un grand péché d’orgueil de l’Occident ; mais cette part d’orgueil en vous n’est pas indigne car elle est l’appel de la liberté, de l’émancipation, de la justice et de l’égalité entre les femmes et les hommes. Car elle est l’appel à la raison et à la conscience universelle ».

Mr Sarkosy pense que l’invasion de l’Afrique par l’Occident est un péché. Il glorifie et magnifie la culture occidentale qui est la sienne. Du même coup, il fait l’apologie de toutes les formes d’invasions et de déstabilisation de l’Afrique sur son chemin, tant historique, culturel et économique propre à Elle. Qu’étaient les peuples africains avant l’arrivée de l’Occident ? L’Afrique était constituée de peuples libres car n’étaient pas sous aucun joug étranger. L’Afrique ne parlait pas d’émancipation car ne dominait, ne cherchait à dominer aucun peuple quand bien même elle en avait les capacités. En attestent les récits historiques prouvant les nombreux contacts avec d'autres continents tels que l'Amérique et l'Asie pour des échanges soft et conviviales. Chemin que l'Occident n'a pas suivi et pire, a abusé de l'hospitalité et de l'humanisme légendaire de l'Homme africain pour lui en faire son esclave et vache à lait. L’Afrique était composée de peuples épris de justice car le juste était le symbole de sa communauté et que la justice était toujours rendue dans les cours royales. Les peuples en Afrique vivaient en symbiose, dans un système d’équité (et non d’égalité) entre les hommes et les femmes. Ceci pour dire que l’homme et la femme n’y étaient pas en compétition mais en complémentarité. Et l’Afrique a toujours été un peuple de raison, avait besoin de s’enrichir au contact des autres peuples, mais n’était forcément pas dans l’attente d’une quelconque raison se voulant « universelle » pour combler un vide.

 « Le drame de l’Afrique  c’est que l’Homme africain n’est pas assez entré dans l’Histoire ».

 

Le vrai drame de la France, représentée ici Mr Sarko, c’est que la France est totalement amnésique. En moins d’un siècle, la France a oublié que son Histoire s’arrêtait au plus tard en 1945, si l’Afrique Noire n’avait pas décidé de la réécrire à sa place quand cette même France de Sarko agonisait sous les bottes Hitlériennes. Et son Histoire à elle, prenait fin en même temps que celle de Napoléon. Et la France ferait la province francophone de l’Allemagne, avec Paris comme deuxième capitale. Ce qui allait obliger les parents de Mr Sarkozy à croupir dans leur pays d’origine qu’est la Hongrie… (à suivre)

Attention nouveau record du monde, et celui-ci sera très compliqué à battre. En même temps on n'a pas trop envie de le battre non plus...

Shem et Kelly Davies viennent de devenir à 29 ans seulement les plus jeunes grands-parents du monde et de toute l'Histoire connue. Devenus eux-mêmes parents à 15 ans après avoir eu la petite Tia, il semble que leur progéniture adolescente ait suivi le même exemple puisqu'elle vient tout juste de mettre au monde un petit bout de chou à seulement... 14 ans ! Précocité bonjour dans cette famille anglaise un poil trop pressée, une famille spéciale et unique puisque pas moins de 6 générations sont toujours vivantes. En effet, Shem Davies, le grand-père donc, a encore sa mère, sa grand-mère et son arrière grand-mère ! Vous suivez toujours ?

          Un vieux voyage avec sa fille et son neveu dans la même voiture. Tout à coup, il entend par derrière cette conversation entre les enfants : la fille qui dit au neveu : « J’ai déjà ouvert». Le neveu répond : « Je peux mettre? ». La fille dit : « Verse dedans ». Un instant après elle reprend : « Mais regarde comment tu as versé sur mes cuisses…». Le père dit au chauffeur : « arrête je les ai attrapé aujourd'hui, ces andouilles ! ». Et il retourne la tête et voit une miche de pain dans les mains de sa fille et une boite de sardine tenue par son neveu. Furieux il crie : « Combien de fois dois-je vous dire d'appeler les choses par leurs noms??? »

Affaire de paiement électronique dê !!!

 

Nouvelle tendance ! Si toi aussi tu n’es pas dedans, c’est que tu es gaou. Affaire paiement électronique. D’aucuns diront que c’est à cause de l’insécurité. Vrai. Mais pour beaucoup, c’est un canal pour prendre des points. Pendant que les « non branchés » font la queue devant les guichets, toi qui est « in », tu te présentes au GAB parce que tu as la fameuse carte électronique. Au supermarché c’est toi qui paies pendant que les autres démegdent avec la monnaie. Autant cette électronique te sert à prendre des points, elle constitue aussi quelques fois, oui, des fois tu t’en sers pour camoufler ta pauvreté légendaire. Le couz ou la petite go te demande un peu de sous que tu pianote sur ton téléphone androïde à l’authenticité douteuse tout en sachant que ton compte est rouge, tu laisses tomber les bras en signe de désolation pour dire « couz (ou bébé), j’oubliais qu’il n’y a même pas de point d’échange électronique dans ce foutu bled ! Je te dépanne prochainement quand j’aurai de la liquidité sur moi ». Tu es surpris quand tu entends le couz ou la petite go dire « c’est pas grave. Transfère moi seulement un peu sur mon compte, je vais me débrouiller ». Si tu crois que c’est toi seul qui est geek… Bon, tu as pris dra maouss (grande honte) mais  tu restes au top, quoi ! Hunn !  Ça c’est quand les dieux de la com ne sont pas en congé. Sinon il n’est pas rare que tu te pointes  à ton point d’échange électronique habituel, on te fait remarquer que le réseau est naze. Tu te dis « ok bien, c’est quand-même moi là. Je ne peux pas manquer de sous, moi. Le pays a changé de nom ou quoi ?: » car tu as en poche ta fameuse carte de GAB. Tellement confiant en cette carte que tu n’as même pas fait demande de chéquier. Erreur ! T’y voilà. Un écriteau t’accueille : « cher client, votre guichet automatique connait des avaries dues au réseau. Veuillez nous en excuser ». Et on ne te donne aucun delais pour revenir. Le pire c’est que tu vois des clients déposer de grosses sommes mais aucun centime ne peut être retiré pour toi le branché…..  C’est là tu cries « nonmaisallôquoi ! Électronique c’est geek mais liquidité en poche est encore mieux »

« JEUNESSE ET AVENIR DU BURKINA »

Voilà le thème sur lequel sera commémoré le 55^ème anniversaire de l’accession à la souveraineté de notre pays le Burkina. Penser à l’avenir du Burkina nous amène à penser globalement sur des sujets du passé, ce qui guiderait nos pas vers un avenir radieux certain.

En effet, la jeunesse burkinabé, l’une des plus conscientes et l’une des plus courageuses de cette Afrique, a su, par exemple, faire avancer la démocratie dans son pays par leurs actions des 30 et 31 Octobre 2014 et celles de la mi-septembre 2015. Cependant nous pensons qu’il n’y a pas d’avenir glorieux à rechercher en solitaire. Ainsi, la jeunesse burkinabè, de concert avec la jeunesse de toute l’Afrique francophone, se devra, un de ces quatre matins, de battre le pavé pour se défaire du joug colonial, tant mental que sur des faits pratiques.

1.      Sur le mental : pour cet avenir radieux tant recherché il faudrait aux dirigeants de l’Afrique francophone d’assurer à la jeunesse un programme scolaire axée sur l’entreprenariat et non sur la bureaucratie. En effet la jeunesse francophone est formatée par sa formation scolaire à n’occuper que des bureaux. Et quand on évalue le taux de chômage dans ces pays, on ne prend en compte que les diplômés occupant une fonction administrative et non les diplômés exerçant dans l’entreprenariat. Pour cela, les dirigeants devraient procéder à une révision des curricula de l’éducation nationale  et l’adapter aux besoins en termes d’emploi. L’exemple des pays anglophone devait servir de source d’inspiration.

2.      Sur un des faits pratiques, le domaine économique : la jeunesse burkinabè, pour son avenir certain, se devra de constituer le fer de lance de la contestation internationale contre le Compte des Opérations et partant de là la dissolution du Franc CFA, véritable canal qui draine la quasi-totalité des richesses de l’Afrique francophone vers la France. En somme, pour un avenir teint en rose, la jeunesse burkinabé se devrait d’inciter celle des autres pays à un sursaut collectif afin de dissiper cette vague de brouillard que constituent ces maux.

 

VIVE LA JEUNESSE BURKINABE,

VIVE L’AFRIQUE TOUTE ENTIERE !!!